Logement et itinérance
Tout le monde mérite d'avoir un toit.
Sans logement, il est quasiment impossible de veiller à sa santé mentale, de se concentrer au travail ou de planifier pour l’avenir.
Trouver un logement abordable et stable est encore plus difficile pour les nouveaux venus, les jeunes forcés de quitter leur domicile, les femmes fuyant une situation de violence, ainsi que de nombreuses autres personnes qui ont de la difficulté à joindre les deux bouts.
Grâce à votre soutien, Centraide peut plaider en faveur de logements sécuritaires pour toute la population. Ensemble, nous pouvons mettre fin à l’itinérance chronique.
Logement et itinérance
Tout le monde mérite d'avoir un toit.
Sans logement, il est quasiment impossible de veiller à sa santé mentale, de se concentrer au travail ou de planifier pour l’avenir.
Trouver un logement abordable et stable est encore plus difficile pour les nouveaux venus, les jeunes forcés de quitter leur domicile, les femmes fuyant une situation de violence, ainsi que de nombreuses autres personnes qui ont de la difficulté à joindre les deux bouts.
Grâce à votre soutien, Centraide peut plaider en faveur de logements sécuritaires pour toute la population. Ensemble, nous pouvons mettre fin à l’itinérance chronique.
Isaac aide d'autres jeunes en s'appuyant sur ses épreuves.
À l’adolescence, Isaac a souffert de problèmes de santé mentale qui l’ont poussé à quitter son domicile.
Pendant un certain temps, il a séjourné dans un refuge pour jeunes hommes. C’était une période difficile pour lui, étant l’un des plus jeunes là-bas. Isaac a commencé à consommer de la drogue pour composer avec la douleur et la dépression. Lorsque la pandémie a frappé, les défis auxquels il était confronté ont augmenté, et ses luttes sont devenues encore plus difficiles.
Grâce à un partenaire de Centraide, il a décroché un emploi dans le cadre duquel il peut tirer parti de ses expériences (itinérance et dépendance) pour répondre aux besoins de notre communauté.
Aucun jeune ne choisit de vivre dans la rue.
De nombreux facteurs peuvent pousser un jeune à quitter son domicile. Il pourrait avoir eu une vie de famille difficile ou survécu à une situation abusive. Certains jeunes 2ELGBTQ+ peuvent être victimes de discrimination en raison de leur sexualité ou de leur identité de genre, alors que plusieurs jeunes issus du système d’aide à l’enfance se trouvent sans soutien lorsqu’ils atteignent l’âge adulte.
Les jeunes sans-abri qui vivent en milieu rural dissimulent fréquemment leur situation du personnel enseignant et de leur voisinage, dormant dans un véhicule ou sur le divan de leurs camarades, ce qui rend cet enjeu encore plus invisible. Les jeunes sans-abri sont plus susceptibles d’abandonner l’école, ce qui rend l’accès à un emploi stable et l’indépendance financière plus difficiles. De nombreux jeunes issus d’une communauté rurale se dirigent vers la ville, en quête d’un emploi et de services. Ils laissent leurs réseaux sociaux derrière et sont forcés d’en bâtir de nouveaux.
Ottawa est devenue, en 2020, la première ville au Canada à déclarer l’état d’urgence en matière de logement. Depuis lors, l’inflation, la flambée du coût de la vie et les conséquences durables de la pandémie, comme la détérioration de la santé mentale et la hausse des actes de violence fondée sur le genre, ont rendu la question de l’abordabilité du logement encore plus pressante.
1 340
À Ottawa, 1 340 personnes vivaient dans la rue en 2021. D’entre elles, 13 % appartenaient à la tranche d’âge des jeunes.
1 sur 3
Au Canada, 1 jeune sans-abri sur 3 fait partie des communautés 2ELGBTQ+.
45 %
De plus, 45 % des jeunes itinérants autochtones vivent dans la rue avant l’âge de 16 ans.
~60 %
Finalement, près de 60 % des jeunes sans-abri sont issus du système d’aide à l’enfance.
Comment nous aidons
Nous collaborons avec des partenaires dans les communautés de Prescott et Russell, d’Ottawa, ainsi que des comtés de Lanark et de Renfrew, pour comprendre l’origine du problème et trouver des solutions à long terme qui mettront fin à l’itinérance chez les jeunes pour de bon. Nous mettons ainsi non seulement fin à l’itinérance chronique, nous sauvons également des vies.
Nous croyons en l’initiative Logement d’abord; celle-ci reconnaît que nous méritons tous et toutes d’avoir un toit, et ce, avant d’avoir à nous préoccuper de nos études, de notre emploi ou de nos perspectives. Nous devons ensuite joindre les jeunes par l’entremise de services personnalisés qui les aident à réaliser leurs objectifs.
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Le logement d'abord, le soutien par la suite.
Nous appuyons des services de counseling en matière de santé mentale adapté sur le plan culturel et aux diverses tranches d'âge, des services d'éducation, ainsi que des programmes de compétences de vie et de travail aux jeunes sans-abri ou à risque de le devenir, car la stabilité et la réussite varient d'une personne à l'autre.
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Un emploi qui responsabilise.
Nous appuyons des entreprises sociales qui permettent aux jeunes itinérants de décrocher un emploi stable tout en obtenant du mentorat spécialisé. De cette façon, ils sont bien préparés pour entrer sur le marché du travail et pour atteindre une autonomie financière à long terme.
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Nous comblons les besoins de base.
Nous devons concerter les efforts de plusieurs organisations et personnes pour résoudre le problème de l'itinérance. C'est la raison pour laquelle nous rassemblons des groupes de travail avisés par des jeunes et que nous militons en faveur d'une augmentation du nombre de logements abordables pour les enfants, les jeunes et les familles sans-abri ou à risque de le devenir.
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Nous rendons les situations de crise plus supportables.
Nous investissons dans de l'information, du soutien et du counseling en dépendance et en santé mentale pour les parents, les enfants et les jeunes. Ces services comprennent notamment le projet répa, une initiative communautaire qui offre des services de rétablissement, d'éducation, de prévention et d'appui en matière d'usage problématique de technologies et de substances aux jeunes et à leurs familles.
Comment nous concrétisons notre effet positif
Comment nous concrétisons notre effet positif
Le droit à un logement sûr et abordable est universel. Lorsque nous unissons nos efforts pour appuyer les personnes les plus vulnérables de nos communautés, nous améliorons les conditions de vie de toute la population.
Votre don à Centraide de l’Est de l’Ontario aide les jeunes sans-abri à bâtir une vie plus stable. Grâce au soutien d’âmes charitables comme vous, nous pouvons aider les jeunes à réaliser tout leur potentiel.
Nous prenons la reddition de comptes très sérieusement.
Vous devriez avoir confiance en l’organisme que vous appuyez. C’est pourquoi nous prenons la transparence, la reddition de comptes et la rentabilité au sérieux. Nous investissons vos dons de façon intelligente et stratégique pour faire bouger les choses.
EFFET 100 % LOCAL
Tous les dons sont investis dans la communauté où ils ont été amassés pour appuyer les causes qui vous tiennent à cœur.
100 MEILLEURS ORGANISMES DE BIENFAISANCE AU CANADA
La Charity Intelligence, MoneySense et Maclean’s ont tous nommé Centraide de l’Est de l’Ontario l’un des 100 meilleurs organismes de bienfaisance au Canada.
Apprenez-en plus sur les notes que Centraide a obtenu à titre d’organisme de bienfaisance, et sur la façon dont nous gérons votre don.
Besoin d’aide?
Si vous ou une personne que vous connaissez avez besoin d’aide en matière de santé mentale, utilisez l’une des ressources principales suivantes :
COMPOSEZ LE 9-1-1
En cas d’urgence, composez le 9-1-1.
CENTRE DE DÉTRESSE D’OTTAWA ET LA RÉGION
Carrefour de services en santé mentale offerts en tout temps.
Consultez dcottawa.on.ca
Composez le 613-238-3311
Envoyez un texto au 343-306-5550
211 DE L’EST DE L’ONTARIO
Trouvez des services communautaires, sociaux, gouvernementaux et sanitaires à proximité.
Consultez 211ontario.ca ou composez le 2-1-1